Chirurgie, rééducation, douleur… La Clinique du Sport et de Chirurgie Orthopédique de Marcq-en-Barœul met son expertise au service de tous les publics.
Chirurgie, rééducation, traitement de la douleur… La Clinique du Sport et de Chirurgie Orthopédique de Marcq-en-Barœul met son expertise au service de tous les publics, sportifs ou non.
Que leur pathologie soit traumatique ou dégénérative, qu’ils soient sportifs ou pas du tout, les patients de la Clinique du Sport et de Chirurgie Orthopédique (CSCO) de Marcq-en-Barœul savent qu’ils bénéficient d’une prise en charge de grande qualité en franchissant les portes de cet établissement. Leur demande peut concerner, par exemple, la pose d’une prothèse de hanche ou de genou, de l’arthroscopie, une opération des ligaments croisés, une coiffe des rotateurs à réparer…
Athlètes ou non trouvent tous ici une réponse à leurs attentes. Et comme le nom de cette structure du groupe Ramsey Santé l’indique, la CSCO assure un large champ d’interventions en direction des sportifs.
Adrien Lons, chirurgien orthopédiste et traumatologue, est spécialisé dans la hanche et le genou. D’autres confrères du groupe Ramsay Santé traitent, également dans la métropole lilloise, tout ce qui a a trait au pied, à la cheville, au rachis, à l’épaule, au coude… Bref, de tout ce dont un athlète a besoin pour performer : un corps en état optimal de fonctionnement !
Les bienfaits de la chirurgie fonctionnelle
Le Dr Lons accueille régulièrement des patients souffrant d’une lésion méniscale ou ayant laissé un « croisé » dans un match ou au ski. La prise en charge d’excellence est pluri-disciplinaire. Elle associe chirurgien, anesthésiste, algologue, kiné… « Les patients que l’on opère d’une prothèse marchent le jour même. On les mobilise tout de suite. La réathlétisation s’adapte aux patients, avec le kiné qui passe les voir deux fois par jour. Avec la chirurgie fonctionnelle, il est fini le temps où on restait alité avec des tuyaux dans tous les sens pendant dix jours et des douleurs épouvantables. »
Ce chirurgien soigne et conseille des coureurs, traileurs et triathlètes de tous niveaux désireux de se remettre sur pied. Parmi les problèmes rencontrés chez ces derniers, « il y a la tendinite de la patte d’oie, et bien sûr un grand classique :le syndrome de l’essuie-glace. » La « fameuse » tendinite du fascia lata… « Il faut d’abord traiter les pathologies liées au matériel, typiquement les chaussures pour la course à pied, qu’il faut changer. Il y a ensuite plein d’axes à explorer auprès d’un kiné, d’un médecin du sport, pourquoi pas d’un posturologue, d’un osthéo… »
Au niveau de la hanche, les pathologies sont de plusieurs types : conflit fémoro-acétabulaire, tendinites avec une souffrances des fessiers, notamment chez les runners… « Oui, la course à pied peut générer des douleurs articulaires, des tendinites… Mais, par contre, je ne crois pas que la course à pied donne plus d’arthrose. C’est une idée préconçue », indique le Dr Lons.
Traiter la douleur le plus tôt possible
Le sport est-il forcément synonyme de blessure ? « Pas forcément, mais c’est souvent lié. Dans le sport, on cherche à repousser ses limites et parfois le corps réagit d’une façon non souhaitée », souligne le Dr Arnaud Alluin, l’un des anesthésistes de la CSCO. Suractivité et défaut de récupération peuvent créer des lésions qu’il faut prendre en charge.
« Cela concerne aussi bien les professionnels que les amateurs, d’autant plus s’ils ne sont pas bien préparés. Les débuts de saison sportive et la période des sports d’hiver sont riches en activité pour nous. Et puis, le sport, au bout d’un moment, cela peut aussi abîmer, user. C’est pour cela que la chirurgie prothétique prend ici tout son sens. » La clinique apporte les moyens nécessaires aux médecins spécialistes accueillis, tous réputés dans leur domaine, afin qu’ils puissent exercer leur art dans les meilleures conditions.
C’est le cas du Cabinet Remed, dont le Dr Alluin est un pilier. Il est notamment reconnu pour son savoir-faire en algologie. Rien à voir avec la cosmétique à base d’algues ! Il s’agit ici du traitement de la douleur, qu’elle soit liée au sport ou non. Et l’idée est de traiter la douleur au plus tôt. « Il faut en parler le plus vite possible à son médecin traitant, à son kiné… Plus on attend, plus la douleur a tendance à s’intensifier et à s’ancrer, et plus elle sera difficile à traiter. »
« Mon travail est d’éviter que la douleur ne s’installe en post-opératoire. Par exemple, en plus de l’anesthésie générale ou péridurale, on endort aussi le genou par des techniques particulières lors d’une opération du ligament croisé. Et grâce à des partenariats, la douleur est gérée à domicile pour maintenir cet effet antalgique et débuter sans délai la kiné. La douleur est un sujet complexe qui nécessite des évaluations spécifiques. C’est pour cela qu’elle demande une prise en charge spécialisée. Comme dans le sport, si on débute par un parcours adapté et progressif, on maximise les chances d’atteindre son objectif. »
Grâce à la CSCO, « faire en sorte que les patients récupèrent plus vite »
Doit-on pour autant se passer de douleur dans une phase de rééducation ? « La douleur est un signe d’alerte qu’il ne faut pas négliger. On ne cherche pas à la supprimer complètement, mais à la rendre supportable. Ainsi, sans subir les effets adverses de la suppression totale (effets secondaires des médicaments, absence de seuil d’alerte et de sensibilité), les patients récupèrent plus vite. » Et cela se fait par une approche fine de la douleur, experte et personnalisée.
Tout le monde a un rapport différent à la douleur. « C’est l’expérience émotionnelle qui compte. On s’adapte à chaque patient. Certains sont plus vulnérables à la souffrance que d’autres. La douleur est une expérience unique et personnelle. Chacun individu a un vécu et une expérience physique qui lui sont propres. On sait que certaines chirurgies sont plus douloureuses que d’autres mais il faut savoir évaluer chaque soin. »
C’est la plus-value d’un établissement comme le nôtre d’avoir des gens formés et à l’écoute pour apporter une solution aux patients. On a par ailleurs des patients qui ont eu mal tellement longtemps qu’ils gardent une hypersensibilité de la zone. Malgré le fait que le souci mécanique soit traité, ils sont très sensibles à la douleur. La tendinite du fascia lata, courante chez les coureurs, se traite sans problème. Mais parfois, ils ressentent toujours une douleur. Nous traitons cet état pathologique. »
Un sportif n’est pas un patient comme un autre
Le sportif n’est pas un patient tout à fait comme les autres. « Il a souvent une résilience plus importante car il a l’habitude de se battre et d’aller au bout des choses. Par contre, il est hyper exigent avec lui-même et a tendance à vouloir aller trop vite au lieu d’être observant vis-à-vis de son traitement. Il doit accepter de faire le deuil de sa performance de façon temporaire pour pouvoir progresser, d’être patient et de ne pas brûler les étapes », rappelle le Dr Alluin.
Au fait, pas obligatoire d’avoir été opéré à la CSCO pour pouvoir faire appel à ce service du traitement de la douleur. Il est ouvert à tout un chacun après avoir été aiguillé par son médecin traitant. « D’ailleurs, on travaille en partenariat avec d’autres structures de soins et d’autres secteurs, en accueillant par exemple des patients souffrants de fibromyalgie, d’endométriose… » Et la prise en charge de l’endométriose, pluridisciplinaire, se fait en étroite collaboration avec l’équipe de l’Hôpital privé Le Bois (Lille), lui aussi une entité du groupe Ramsay Santé
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Ramsey Santé
Avec l’acquisition du groupe Hôpital privé Métropole (HPM), Ramsay Santé est devenu le leader de l’hospitalisation privée dans l’agglomération lilloise. Avec désormais dix établissements, ce groupe renforce significativement son offre de soins sur tout le territoire de santé de la MEL. Il est aussi en capacité d’accueillir un public beaucoup plus large souhaitant faire appel à l’offre de santé de pointe proposée par Ramsey Santé, notamment à la Clinique du sport et de chirurgie orthopédique.
Le nouveau Pôle du Groupe au sein de l’agglomération lilloise compte à présent 2 400 collaborateurs et 700 médecins, répartis sur les 10 établissements assurant la prise en charge annuelle de 160 000 patients.
Cette clinique particulièrement innovante propose aux patients une prise en charge chirurgicale orthopédique et maxillo-faciale. Les pathologies traitées peuvent être : ostéo articulaires, musculaires, tendineuses et ligamentaires du membre supérieur et inférieur.
La CSCO, c’est, chaque année : 8 391 hospitalisations en chirurgie et en médecine ; 574 séjours de soins de suite et de réadaptation ; 3 327 patients pris en charge en chirurgie ambulatoire (moins de 24 heures)
Plateau technique : 8 salles d’intervention chirurgicale ; 12 postes de Surveillance Post-Interventionnelles (SSPI) ; 61 lits de chirurgie hospitalisation complète ; 21 places de chirurgie ambulatoire ; 9 places en hospitalisation de jour ; 55 lits de Soins Médicaux et de Réadaptation (SMR) ; 1 plateau d’imagerie (radiologie, échographie et scanner) ; 2 salles de rééducation ; des soins externes
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